Le blues de l'hiver est là, il fait froid. Ils sont là les makaks à la face rose, sur terre nippone, ils baisent à petite et forte dose.
Une chercheuse Samouraï scrute chaque clignement d'yeux, elle recherche ce qui les rend peureux, heureux ou malheureux.
Je serais donc un descendant de ce fameux makak.
Ces éducateurs rouge sang, dirigeants des consciences pauvres, veulent vraiment nous vendre ce crak.
Ma rime est facile lorsque je retiens ma larme pour macher ma maladie. Nos makaks, eux, sont trop cons pour pouvoir jouer à Jeopardy.
4h10, j'écris, je rebondis de note en note, pianote à l'encre sur une page pas sage. Je bois du lait, je mange des dattes, je me fume et ils me disent que je me tue.
Pourquoi je me häte? Je voudrai prendre mon temps comme ces makaks, me faire scruter le scrotum par une Geïsha d'orient, une randonneuse experte en maladie mentale.
Que la belle me soigne, je saignerai encore!
Qu'elle le gagne, mon coeur ordonnera le décor.
Un endroit où les makaks sont maladroits.
Un lieu où les makaks deviennent amoureux.
Un Japon, un Tsunami de fleurs dans des coeurs en béton.
By Demonsandiosas.
Pic: Gong li baby.
No comments:
Post a Comment