Thursday 29 March 2012

The Eiffel Tower and the orange.





Somedays, a busy life just slows down at the foot of the iron of the world.
Sometimes, we just want to enter a park and open every stomach with a sword.
One day, I ate an orange, a juicy orange orange by la Tour Eiffel, the gigantic dildo everybody sits on in this world.
Once upon a time, a yellow bike called Maximus was fighting against the wind to earn some european coins.
Brazilian mothers and Russian whores were curious to see Maximus moan.
The story ends at 5.30pm when Maximus comes back home and goes to Church to please Notre-Dame.
A prayer made by a soldier doesn't need translation to know that a wheapon is obviously une arme.
Maximus is at the sunny part of Paris and his boredom is so immense that he can take this whole fucking city in his arms.

By Demonsandiosas.

Ps: Ce poème est dédiée à la plus belles des salopes du monde, je nomme La Donna Parigi.

Friday 23 March 2012

Verlan Sa Reum!



Elle est reumot chepro du Vrelou,
Elle s'est aif dégnarpoi par 1 relou,
Il lui a démande d'voira 3 sous,
Elle chémar sur les toirtros d'Ripa,
Elle ressot de chez le feurcoi,
Elle était neubeau c'tinma,
Il avait pas midort de la ressoi,
Le relou et la neubeau ne se ronfeut maija carna au vrelou.
Tous les débris n'ont rien dits, ils prenaient des tofs du vrelou,
Elle est reumot au iep de la pyramide du vrelou,
la pyramide où les kings venaient bouyaves des tepus moldaves,
La pyramide où les queens spanish chémar comme des charclos de Castille.
La pyramide où je suis béton pour avoir poignardé le coeur d'une fille.

By Demonsandiosas

Ps: this piece is dedicated to the beauty, model and mother of 3 kings. God bless u my love. The swiss photographer with fancy glasses.

Saturday 17 March 2012

PerverSion





Je ne peux utiliser cette lettre en ce jour heureux,
Une confidente courtoise me fit un compliment profond sur cette écriture,
Celle qui me pervertit, celle qui me montre que je ne suis point éperdument peureux.
L'écriture est un pêché, une perversion, une immonde coutume,
Et le doux sort qu'on s'inflige lorsque le malheur nous pend au zen.
Mon nez sent les lettres, nif berbère, je les renifle comme un félin en rute.
Une plume qui s'enfonce sur une pierre fine venue de l'écorse d'un chêne,
Je veux que tu sentes le bois dés que j'en discute.
Je veux que tu me lises et que tu oublies pour toujours nos éternelles disputes.
Cette lettre me manque, la Salope!
Oups!!!... et voilà. Qué MierdA!
The first est encore là!
Je t'aimerai forever Madame "A".


By  Demonsandiosas aka Jamel Lamouchi aka Joums la mosca aka France Lamouchi.

Friday 9 March 2012

Djibouti lady, inspiration au carré...

                                                                             

Une princesse griffant le dos de la vulgarité.
les poisons ne peuvent pousser dans les coeurs de pères croyants.
le vert de tes yeux a montré le respect que ton âme donnait à Dieu.
Entrant dans l’igloo de la paresse, sa bouche fait fondre les icebergs.
Au crépuscule grelottant, son humectage pointu réchauffe les glaçons aiguisés.
Brûlure africaine d’une terre frigide. Son corps offert à l’Olympe pour toujours offrir la fièvre féminine.


Wet whisper

Leaking on her thighs, Al-ikseer is warm enough to not burn her skin.
This wet whisper of his in her left ear is full of sins.
Sins of love, praise from Doves.
Flying above this duet, the birds are blessing sensuality.
Leaving them alone when their dominion size bed turns into animosity.


By Demonsandiosas pour la représentante de l'ONU :)

Friday 2 March 2012

MAKAKS




Le blues de l'hiver est là, il fait froid. Ils sont là les makaks à la face rose, sur terre nippone, ils baisent à petite et forte dose.
Une chercheuse Samouraï scrute chaque clignement d'yeux, elle recherche ce qui les rend peureux, heureux ou malheureux.
Je serais donc un descendant de ce fameux makak.
Ces éducateurs rouge sang, dirigeants des consciences pauvres, veulent vraiment nous vendre ce crak.
Ma rime est facile lorsque je retiens ma larme pour macher ma maladie. Nos makaks, eux, sont trop cons pour pouvoir jouer à Jeopardy.
4h10, j'écris, je rebondis de note en note, pianote à l'encre sur une page pas sage. Je bois du lait, je mange des dattes, je me fume et ils me disent que je me tue.
Pourquoi je me häte? Je voudrai prendre mon temps comme ces makaks, me faire scruter le scrotum par une Geïsha d'orient, une randonneuse experte en maladie mentale.
Que la belle me soigne, je saignerai encore!
Qu'elle le gagne, mon coeur ordonnera le décor.
Un endroit où les makaks sont maladroits.
Un lieu où les makaks deviennent amoureux.
Un Japon, un Tsunami de fleurs dans des coeurs en béton.

By Demonsandiosas.

Pic: Gong li baby.