Saturday 21 April 2012

FC Barcelona


Pitchichiz
En avant vers l’antre de béton où se ruent papis, mamies et les petits afin de voir le divertissement dominicale de la balle au pied flamenco. Les danseurs arrivent, claquettes aux pieds, une touche de balle sur le sable vert, les vacanciers en bleu et mauve se préparent à faire remuer Gijon, Papi fume un max. Il connaît l’histoire Papi, il les a vus défiler les anges démoniaques du champ nouveau, il vient en famille sans parassol. Toutes les familias n’ont nul besoin de pare-soleil car la chaleur est humaine, torride est le gang qui réchauffera milliers de regards enfantins. Coup d’envoi et réquisition méprisante d’un ballon précieux, un ballon devenu boule de feu, trop dangereux à garder entre les pieds, ils le distribuent le plus vite possible au rythme Catalan. Les négresses de Las Ramblas se sont transformées en guerriers près à détruire le but adverse à l’aide de leur ballon de destruction massive. L’ONU ne peut intervenir, le territoire est occupé  par une troupe méchamment organisée et l’ennemi souffre dans l’arène qui gronde. Que fait Tsahal ? Où sont les Gi’s ? Samuel, le guépard nègre, envoie un premier missile et son regard ne tremble plus, domination africaine d'une terre blanchâtre, les cochons debouts se réjouissent de l’efficacité indigène. Le messie est discret, trop entouré de groupies acharnées à lui arracher le maillot alors le profil bas s’impose et ils laissent briller les rois de Castille, maîtres de la Galère libératrice, ils distribuent un boulet à l’esclave millionnaire qui détruit à nouveau les nordistes en nage. La foule se noie dans une vague alors qu’une flèche a atteint la terre belliqueuse, anodine anecdote! Une chorégraphie féline et des corps en osmose font oublier les rayures blanches et rouges des prisonniers du talent. Discipline, travail, sérieux, sensualité et pouvoir ont eu raison de l’équipe du Nord qui n’aura pu faire que souffler le vent avec elle lorsque les conquérants « blaugranas » quittent l’espace pour revenir sur terre. « Barça, Barça… Baaaaaarrrçça !!! »
ps: c'est du one shot mais ils fallait immortaliser ce moment spatial

Sunday 15 April 2012

La Malaga Negra




Su ropa negra en su piel mas o menos barata.
This girl comes from Malaga.
The transit place for Saoudiz and drug dealz.
La descripcion se detiene cuando sus labios me tocan la boca.
Suave, dulce momento cuando 2 extranjeros comunican con la idioma de Cervantes.
Hoy, Estoy un Don Quijote de Malaga, La Mancha leja, et je me bats contre des moulins à vent
amoureux d'une pulpeuse perle provenant d'un pays pudique.
Alexandra parle peu, elle gémit du moins.
Souffle infernale brûlant mon fragile cou et ses caresses comme une fin de vague...
Elle me jure que ma peau est salée, que mi fuerza es llena de sangre.
Le moment est véritablement doux, profond et branché sur Radio Latina.
Elle danse comme Isis içi dans ce pays où les filles se titillent le sexe face à la toile sanglante.
Une femme sait sincèrement quand l'homme vient et elle ne s'affole pas, elle affole son bras,
mouvement que rien ne retient.
Jouir dans tes bras fut délicieux Malaga. Tu mama Colombiana y quiero llorar porque tu me haces pensar en Viviana.
Ahora, quiero detener el tiempo y desentranar con esta diosa diabolica para siempre, sin mover hasta el ultimo rincon del mundo.

By Demonsandiosas.

Thursday 29 March 2012

The Eiffel Tower and the orange.





Somedays, a busy life just slows down at the foot of the iron of the world.
Sometimes, we just want to enter a park and open every stomach with a sword.
One day, I ate an orange, a juicy orange orange by la Tour Eiffel, the gigantic dildo everybody sits on in this world.
Once upon a time, a yellow bike called Maximus was fighting against the wind to earn some european coins.
Brazilian mothers and Russian whores were curious to see Maximus moan.
The story ends at 5.30pm when Maximus comes back home and goes to Church to please Notre-Dame.
A prayer made by a soldier doesn't need translation to know that a wheapon is obviously une arme.
Maximus is at the sunny part of Paris and his boredom is so immense that he can take this whole fucking city in his arms.

By Demonsandiosas.

Ps: Ce poème est dédiée à la plus belles des salopes du monde, je nomme La Donna Parigi.

Friday 23 March 2012

Verlan Sa Reum!



Elle est reumot chepro du Vrelou,
Elle s'est aif dégnarpoi par 1 relou,
Il lui a démande d'voira 3 sous,
Elle chémar sur les toirtros d'Ripa,
Elle ressot de chez le feurcoi,
Elle était neubeau c'tinma,
Il avait pas midort de la ressoi,
Le relou et la neubeau ne se ronfeut maija carna au vrelou.
Tous les débris n'ont rien dits, ils prenaient des tofs du vrelou,
Elle est reumot au iep de la pyramide du vrelou,
la pyramide où les kings venaient bouyaves des tepus moldaves,
La pyramide où les queens spanish chémar comme des charclos de Castille.
La pyramide où je suis béton pour avoir poignardé le coeur d'une fille.

By Demonsandiosas

Ps: this piece is dedicated to the beauty, model and mother of 3 kings. God bless u my love. The swiss photographer with fancy glasses.

Saturday 17 March 2012

PerverSion





Je ne peux utiliser cette lettre en ce jour heureux,
Une confidente courtoise me fit un compliment profond sur cette écriture,
Celle qui me pervertit, celle qui me montre que je ne suis point éperdument peureux.
L'écriture est un pêché, une perversion, une immonde coutume,
Et le doux sort qu'on s'inflige lorsque le malheur nous pend au zen.
Mon nez sent les lettres, nif berbère, je les renifle comme un félin en rute.
Une plume qui s'enfonce sur une pierre fine venue de l'écorse d'un chêne,
Je veux que tu sentes le bois dés que j'en discute.
Je veux que tu me lises et que tu oublies pour toujours nos éternelles disputes.
Cette lettre me manque, la Salope!
Oups!!!... et voilà. Qué MierdA!
The first est encore là!
Je t'aimerai forever Madame "A".


By  Demonsandiosas aka Jamel Lamouchi aka Joums la mosca aka France Lamouchi.

Friday 9 March 2012

Djibouti lady, inspiration au carré...

                                                                             

Une princesse griffant le dos de la vulgarité.
les poisons ne peuvent pousser dans les coeurs de pères croyants.
le vert de tes yeux a montré le respect que ton âme donnait à Dieu.
Entrant dans l’igloo de la paresse, sa bouche fait fondre les icebergs.
Au crépuscule grelottant, son humectage pointu réchauffe les glaçons aiguisés.
Brûlure africaine d’une terre frigide. Son corps offert à l’Olympe pour toujours offrir la fièvre féminine.


Wet whisper

Leaking on her thighs, Al-ikseer is warm enough to not burn her skin.
This wet whisper of his in her left ear is full of sins.
Sins of love, praise from Doves.
Flying above this duet, the birds are blessing sensuality.
Leaving them alone when their dominion size bed turns into animosity.


By Demonsandiosas pour la représentante de l'ONU :)

Friday 2 March 2012

MAKAKS




Le blues de l'hiver est là, il fait froid. Ils sont là les makaks à la face rose, sur terre nippone, ils baisent à petite et forte dose.
Une chercheuse Samouraï scrute chaque clignement d'yeux, elle recherche ce qui les rend peureux, heureux ou malheureux.
Je serais donc un descendant de ce fameux makak.
Ces éducateurs rouge sang, dirigeants des consciences pauvres, veulent vraiment nous vendre ce crak.
Ma rime est facile lorsque je retiens ma larme pour macher ma maladie. Nos makaks, eux, sont trop cons pour pouvoir jouer à Jeopardy.
4h10, j'écris, je rebondis de note en note, pianote à l'encre sur une page pas sage. Je bois du lait, je mange des dattes, je me fume et ils me disent que je me tue.
Pourquoi je me häte? Je voudrai prendre mon temps comme ces makaks, me faire scruter le scrotum par une Geïsha d'orient, une randonneuse experte en maladie mentale.
Que la belle me soigne, je saignerai encore!
Qu'elle le gagne, mon coeur ordonnera le décor.
Un endroit où les makaks sont maladroits.
Un lieu où les makaks deviennent amoureux.
Un Japon, un Tsunami de fleurs dans des coeurs en béton.

By Demonsandiosas.

Pic: Gong li baby.

Wednesday 29 February 2012

KHNOUNA



Ode à la gluante, épaisse, celle qui pousse dans ton zen comme une grossesse.
Elle s'impose dans tous les milieux, chez le nanti, le pic assiette, le prëtre et le peureux.
Certains en parlent en jeans déchirés à l'Olympia,
D'autres l'habillent d'une robe de poudre blanche à Formentera.
Mon monde n'est pas rose à cause de toi KHNOUNA.
Ta couleur kaki, sèche, sanglante me rappelle les larmes de Gaza.
Dommage, comme mon caca, je veux te voir, savoir quelle gueule tu as!
J'ai une tendresse pour ma merde!
Ma crasseuse!
Plus elle est grosse, moins la sensation est haineuse.
Bizar! Plus c'est dégueulasse et moins je m'en lasse!
Peut-etre que tout ce qui sort de nos trous nous rappelle juste qu'on y finira... dans un trou!
Alors quoi, j'aime la mort? Pour l'instant, je préfère ma KHNOUNA!

Sunday 26 February 2012

Now that I'm older...



29 years old, 29 years of bitter joy...
I laughed, I cried, I smiled but I cried first I guess.
Born in a farm, closer to l'Auvergne,
Je me suis pris des sacrées beignes.
J'ai vu les femmes souffrir, sourir et mourir.
I saw their sacred sorrow, down to earth, their heart I follow.

J'ai vu les hommes chialer, pleurer, beugler...
They wanted love, they got shit from les mal-aimées.
I saw creatures, animals, sweet babies and violence...
Now I own years of remembrance, memories and violence.
30 years and what's next? 
Love, marriage, hatred, hope for the best...
Leave this to subway clients, those sleeping to escape life and remain peasants.
I tried to be a king, I tried to find my queen.
Defeat baby, bad victory, fake contest full of cosmetic.
Their life is full, happy, wonderful and robotic.
I will end like a Robocop, paranoid in order to get hypnotic.

At least 300 is a better number.
Real visuals and cinema jewel.
I am Gerald Butler, I have no abs,
Just the belly of a baby and pride over shame when I will turn 30.

Now that I'm older... my love for doggies grew
My adoration for humans flew.

By Demonsandiosas. (picture reppin youth, youth and youth. I love u girls)

Thursday 23 February 2012

VM to the beyond!




Sending him messages on his voice mail.
He sends me back signs on Earth for me to keep writing my tale.
The joy he provides en Esta Tierra is huge.
But if Eden is better. Then kill my soul and take me there...
I hate the way you love me,
Only because I will never be able to reach even one drop of the level of love and forgiveness you provide me.
I hope each beat of my poor heart can say sorry for the mistakes of my misery.
My mother who loves me the most apparently felt bad and insulted me.
You never did and I love you until the end, when the depth of my flesh will receive punishment for all the sins I was aware of in this life.
Please, keep loving me, loving us. Your test is difficult but when you show us your presence, I wonder if your beauty equals a sunset? Amar es mi vida, Life is about living period...
 Thank you ya Allah.

Friday 3 February 2012

1009 Nights

In a desert of love, a flying carpet was flying above dusts of desires. He stopped at the door of an oasis of hope to drink the milk of her blood. She poisoned his power for him to stay and drown in moving salt...
She was a turquoise vision in an ocean of gold powder. El Sahara was the name of his universe but that planet he fell in was soooooo small and did not appear dangerous that he just embraced the moment and drank the poison of GOD... Gold Of the Devil.

By Demonsandiosas.